lundi 7 janvier 2013

CONSEIL COOPERATIF N°2
- Refaire un colloque
- Se mettre en rond pour faire les débats pour faciliter le dialogue
- Donner des feuilles qui récapitulent le cours (synthèse)
- Donner le barème avec les attentes du BAC
- Donner des DM facultatifs de type bac
- Revoir la méthode de la dissert
- Donner des notes à titre indicatif que l'on décidera chacun de compter ou pas dans la moyenne
- Intégrer plus de références philosophiques (oeuvres, philosophes ...)

mardi 23 octobre 2012

jeudi 4 octobre 2012

CR du conseil coopératif n°1

1) Le bac blanc aura lieu le mercredi de la deuxième semaine après la rentrée des vacances de Toussaint
on peut présenter un travail supplémentaire pour rattraper le bac blanc
on doit présenter à la notation une activité au choix réalisée pendant le trimestre, celle qu'on estime avoir le mieux réussi.

2) Mercredi prochain 10 septembre : activité philosophique libre. Jeudi 11 septembre : travail personnel d'écriture  sur le colloque des philosophes.

3) refaire, dans le cours de l'année, un colloque des philosophes

4) films choisis pour lycéens au cinéma : La grande illusion, le silence de Lorna, Hors jeu.

lundi 1 octobre 2012

Lycéens au cinéma IV

Regarde les hommes tomber
 

Synopsis et détails

Simon, un représentant d'une cinquantaine d'années, mène une vie ennuyeuse dont les seuls moments de joie sont ses retrouvailles avec son meilleur ami, Mickey. Deux ans plus tôt, Marx, un truand vieillissant, prend sous son aile Johnny, un jeune homme quelque peu stupide, qui le suit partout comme un chien, et à qui il va apprendre les rudiments du métier. Quand Mickey est blessé en service et tombe dans le coma, Simon abandonne famille et travail et se lance à la recherche des meurtriers de son ami. Ses soupçons se portent sur deux hommes : Marx et Johnny...




 

Synopsis et détails

Philippe Miller est un escroc solitaire qui vit sur les routes.
Un jour, il découvre par hasard un chantier d'autoroute abandonné, arrêté depuis des années par des écologistes qui voulaient sauver une colonie de scarabées.
L'arrêt des travaux avait été une catastrophe économique pour les habitants de cette région.
Philippe y voit la chance de réaliser sa plus belle escroquerie. Mais son mensonge va lui échapper.

Lycéens au cinéma III

 
 
Tetro
 
Titre original : TETRO (Etats-Unis)
Genre : Drame - Duree : 2H7 mn
Distributeur : Memento Films - Editeur DVD : Fox Pathé Europa (FPE)
Sortie à la Vente en DVD le 23 Juin 2010
Sortie en salles le 23 Décembre 2009
Année de production : 2009
Présenté à la Quinzaine des Réalisateurs au Festival de Cannes le 14 Mai 2009

Résumé du film Tetro

Bernie, dix-sept ans, naïf et frais, arrive à Buenos Aires pour rechercher son frère aîné qui a disparu depuis plus de dix ans en jurant de ne plus jamais revoir sa famille. Cette famille d'Italiens immigrés s'était installée en Argentine, mais depuis le succès du père dominateur Carlo, chef d'orchestre reconnu, elle a déménagé à New York. Quand Bernie retrouve son frère Tetro, écrivain brillant et mélancolique, il n'est pas accueilli à bras ouverts.
 
 
 
 
 
 
Les Demoiselles de Rochefort
 

Synopsis et détails

Delphine et Solange sont deux jumelles de 25 ans, ravissantes et spirituelles. Delphine, la blonde, donne des leçons de danse et Solange, la rousse, des cours de solfège. Elle vivent dans la musique comme d'autres vivent dans la lune et rêvent de rencontrer le grand amour au coin de la rue. Justement des forains arrivent en ville et fréquentent le bar que tient la mère des jumelles. Une grande foire se prépare et un marin rêveur cherche son idéal féminin...






 

Synopsis et détails

Interdit aux moins de 12 ans
Au XXIVe siècle, une fédération musclée fait régner sur la Terre l'ordre et la vertu, exhortant sans relâche la jeunesse à la lutte, au devoir, à l'abnégation et au sacrifice de soi. Mais aux confins de la galaxie, une armée d'arachnides se dresse contre l'espèce humaine et ces insectes géants rasent en quelques secondes la ville de Buenos-Aires. Cinq jeunes gens, cinq volontaires à peine sortis du lycée, pleins d'ardeurs et de courage, partent en mission dans l'espace pour combattre les envahisseurs. Ils sont loin de se douter de ce qui les attend.

Lycéens au cinéma II

L'histoire

1916, durant la Première Guerre mondiale. Alors qu'il effectuait une mission de reconnaissance, l'avion du lieutenant Maréchal transportant le capitaine Boieldieu de l'état-major a été abattu. Les deux hommes sont faits prisonniers par le capitaine Von Rauffenstein, qui les traite avec grand respect. Maréchal et Boieldieu sont internés dans un camp de prisonniers en Allemagne où ils rejoignent d'autres compatriotes. Rapidement des relations de camaraderie se nouent, notamment avec le juif Rosenthal, alors qu'une tentative d'évasion est organisée. Mais les trois prisonniers vont hélas se trouver transférés dans la forteresse Wintersborn que dirige dorénavant Von Rauffenstein suite à des blessures de guerre. C'est alors que Boieldieu et Von Rauffenstein, deux aristocrates, se lient d'amitié. Se rapprochant également de leur côté, Maréchal et Rosenthal envisagent de s'évader. Un plan se met en place, dans lequel Boieldieu jouera un rôle central et dangereux.



BLOW UP

Affiche Blow Up

Thomas, brillant photographe anglais, est las de faire des photos de mode. Il décide de faire un reportage sur les aspects inédits de Londres. Au cour de ses pérégrinations il photographie un couple d'amoureux dans un parc. La femme le poursuit et insiste à tel point pour avoir les négatifs que Thomas, intrigué, lui remet une autre pellicule. Il découvre, en agrandissant les photos, une main derrière un buisson qui tient un revolver. Il se rend sur les lieux et découvre le cadavre d'un homme




 

Synopsis et détails

Pour devenir propriétaire d'un snack avec son amoureux Sokol, Lorna, jeune femme albanaise vivant en Belgique, est devenue la complice de la machination de Fabio, un homme du milieu. Fabio lui a organisé un faux mariage avec Claudy pour qu'elle obtienne la nationalité belge et épouse ensuite un mafieux russe prêt à payer beaucoup pour devenir belge. Pour que ce deuxième mariage se fasse rapidement, Fabio a prévu de tuer Claudy. Lorna gardera-t-elle le silence ?

Programme Lycéens au cinéma I

Un film de Jafar Panahi
Iran - 2006 - 1h30 - v.o. sous-titrée - format 1,85
avec Sima Mobarak-Shahi, Safar Samandar, Shayesteh Irani
8 Mai 2006 : l'Iran est en passe de se qualifier pour la coupe du monde de football. Un car de supporters déchaînés est en route vers le stade. Une fille déguisée en garçon s'est discrètement glissée parmi eux. Elle ne sera pas la seule à tenter de transgresser l'interdiction faite aux femmes d'assister aux manifestations sportives. À l'entrée du stade, elle est démasquée et confiée à la brigade des moeurs qui devra décider de son sort. Enfermée dans un enclos improvisé, elle est très vite rejointe par d'autres filles. Ensemble, elles refusent d'abandonner et usent de toutes les techniques pour voir le match.

Blow Up


De Michelangelo Antonioni
Grande–Bretagne / Italie / Etats–Unis
1966 – couleur – 1h50
Avec David Hemmings, Vanessa Redgrave, Sarah Miles, Verushka von Lehndorff, Jane Birkin…
Palme d’or au Festival de Cannes 1967
Si la Nouvelle Vague française a redéfini d’un seul coup les contours du cinéma, jusqu’à essaimer un peu partout dans le monde tout au long des années 60, Antonioni représente lui une autre branche du cinéma moderne, moins spontanée, plus concertée et sans doute plus énigmatique, plus mystérieuse. Quand le grand cinéaste italien décide, au milieu des années 60, d’aller voir ailleurs, il a déjà une œuvre conséquente derrière lui, et tout particulièrement sa tétralogie dédiée à sa muse, Monica Vitti, qui, de L’Avventura au Désert rouge, fait de lui un metteur en scène controversé mais célèbre. Pourtant, à ce moment, il décide de faire table rase et de se transporter dans le swingin’ London de 1966, foyer central de la révolution pop. Pour autant, même si Blow Up prend parfois l’allure d’un document ethnographique sur les mœurs d’une tribu aux règles étranges, il est difficile de voir le film d’Antonioni comme une simple exploration du Londres branché de l’époque. L’ambition du cinéaste est, en réalité, beaucoup plus vaste, à la fois artistique et métaphysique. Inspiré d’une nouvelle de Julio Cortazar, adapté par Antonioni lui-même et le fidèle Tonino Guerra et nourri par les dialogues du dramaturge anglais Edward Bond, Blow Up est une fable incroyablement subtile sur les apparences, sur le statut de l’œuvre d’art, sur un monde dont le sens s’évapore à mesure qu’il semble se révéler. Pas d’improvisation chez Antonioni mais une construction dont la rigueur est invisible. Il s’agit de suivre le trajet d’un photographe de mode, inspiré par la figure emblématique de David Bailey, confronté, le temps d’une journée et d’une nuit, à un vertige qui le dépasse et qui met en question les fondements mêmes de son existence. Dans un Londres fantomatique filmé comme une splendide abstraction architecturale, Thomas, le photographe, est d’abord montré comme une sorte de dandy absolu dont l’arrogance se manifeste en permanence.
Dans les séances de shoot photographique, Thomas est filmé comme un prédateur qui fond sur ses proies et les vampirise au gré de ses humeurs. Ces moments lui procurent l’ivresse d’une maîtrise totale qu’Antonioni va s’employer à déconstruire à mesure que son héros très solitaire est mis en présence d’événements étranges qui se produisent dans un de ces fameux parcs londoniens. Là, Thomas commence à faire l’expérience d’une perte, d’une fuite, à travers un morceau de réalité qui lui échappe peu à peu. Si, dans la fameuse séquence de l’agrandissement, le photographe découvre quelque chose qu’il n’avait pas vu au moment de la prise de vue – une sorte d’image dans le tapis, pour reprendre le titre d’une nouvelle d’Henry James, un écrivain qui n’est jamais très loin d’Antonioni – c’est pour mieux le perdre, comme si le fragment agrandi se dérobait à mesure qu’il se révélait, jusqu’à cet étrange final – cette partie de tennis mimée par quelques jeunes gens en goguette – où la réalité n’est plus qu’une illusion. Antonioni n’a aucune empathie pour son personnage et le filme à distance comme un zombi solitaire, un enfant gâté qui traverse un monde sans épaisseur. Ce monde est aussi séduisant que dérisoire comme le manche de guitare que Thomas conquiert de haute lutte, pendant le concert des Yardbirds, avant de l’abandonner aussi vite dans la rue tel un fétiche dénué de valeur. La froideur du regard d’Antonioni renforce le sentiment de fascination qui emplit peu à peu le spectateur devant le spectacle d’un univers indéchiffrable. Ce qui fait de Blow Up un film capital pour saisir l’euphorie d’une époque en même temps que sa vanité profonde mais également un film aussi influent que le Vertigo d’Hitchcock. Référence très directe pour le Blow Out de Brian de Palma, quinze ans plus tard, a directement influencé tout le cinéma des années 70, aussi bien les premiers Dario Argento (jusque dans le choix de David Hemmings pour Les frissons de l’angoisse) que le Conversation secrète de Coppola.
Thierry Jousse

L'histoire

Combattant pour son pays, la Tomania, en 14-18, un soldat sauve un officier blessé et s'envole avec lui dans un avion qui atterri en catastrophe. Après un long séjour à l'hôpital, amnésique, il rejoint le ghetto ou il possède une échoppe de barbier. Entre-temps, le Dictateur Hynkel est arrivé au pouvoir et prononce des discours contre les juifs. Dans le ghetto, sujet aux brimades des miliciens, le barbier fait la connaissance d'une jeune femme, Hannah, dont il tombe amoureux. Pendant ce temps, Hynkel rêve de conquérir le monde...